Zombie Parade | 13 November 2014 |

THIS IS A GOOGLE TRANSLATION OF A FRENCH REVIEW

 

Remember the title of this cross. I'm laughing all alone and I'm the only rapper to understand my humor of the early 90s ... short.
 

B. Our "hero" London is the archetype of the evil teenager in his skin and trying to exist by violence and mistrust of authorities. While the family context B. is not necessarily healthier, strange video began to spread on the net and evoke an epidemic of madness affecting Irish neighbors.
 

The media are trying to hide the facts, but more and more stories and testimonies, videos which come gradually to the ears of B. and his band. The word "zombie" is released by the media and some confusion takes hold of the inhabitants of London ...
 

But this "media" concern is that the younger worries B. who must face a lunatic father, angry, racist and violent. The father, B. likes yet, is the last of bastards who beat up his wife and a reign domestic tyranny. B. constantly rebellion appearance is interposed between shots over his father's and his mother's face.
 

B. hate this life though, is his daily bread. Racism lower forehead (national), insults and denigration of difference as to transpire through acts of B. who is looking for a scapegoat to escape a little time is routine in this hell.
 

The opportunity will be given when the zombies will land in London and push the protagonists to acts of bravery drugs but also pathetic acts of cowardice.
 

The zombies when them, are ultra violent. Hard to imagine that in the literature for "young". But without going into the gory details, Darren Shan did not hesitate to speak of bloody guts and describe scenes that are a real butcher.
 

Besides the fact that a zombie bite is enough to turn you relatively quickly, one of their own, they have the distinction of being controlled by beings endowed with dirty mouth but a sadistic conscience. But where do they come from? What do they want?
 

We'll know with Fred and Jamie in the next episode scheduled for 14 January 2015.


So to Zom-B or not-B?


For my part, I'm hooked to the style of Darren Shan. Some situations are, to my taste, a little "borderline" for a very young audience, but perfectly balanced teens, and awake stranded find it devilishly funny.
 

Moreover, apart from violence related to our friends the zombies, the matters discussed by Darren Shan through the behavior of B. is quite remarkable, despite the slippery slope that is denouncing racism and domestic violence an audience to be young. It is difficult at this age (at least it was for me to understand the subtleties of language) recognize and discern what the author wants to evoke, and the idea that he has without give a moral lesson with two balls. I think he is doing pretty well.
 

Zom-B is a series that promises good with a body control and a wanton violence and a frantic pace and interspersed with serious moments. And then, with that end almost unexpectedly, after all, I am looking forward to read more.

 

Rating: 8/10

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Oubliez le titre de cet inter. Je me fais rire tout seul et je suis le seul à comprendre mon humour de rappeur du début des années 90… Bref.

B., notre « héros » londonien, est l’archétype même de l’adolescent mal dans sa peau et qui tente d’exister par la violence et le défiance des autorités. Alors que le contexte familiale de B. n’est pas forcément des plus sains, d’étranges vidéo commencent à se répandre sur le net et évoquent une épidémie de folie touchant les voisins irlandais.

Les médias tentent de camoufler les faits, mais de plus en plus d’histoires et de témoignages, dont vidéos, viennent peu à peu aux oreilles de B. et de sa bande. Le mot « zombies » est lâché par les médias et une certaine confusion s’empare alors des habitants de Londres…

Mais, cette inquiétude « médiatique » n’est que le cadet des soucis de B. qui doit affronter un père lunatique, colérique, raciste et violent. Ce père, que B. aime pourtant, est le dernier des enfoirés qui tabasse sa femme et fait régner une tyrannie domestique. B. en constante rebellion d’apparence ne s’interpose plus entre les coups de son père et le visage de sa mère.

Cette vie que B. déteste pourtant, est son pain quotidien. Racisme bas du front (national), insultes et dénigrement de la différence transpirent aussi aux travers des actes de B. qui se cherche un souffre douleur pour s’échapper un temps soit peu à cet enfer routinier.

L’occasion lui en sera donné quand les zombies vont débarquer dans Londres et pousser les protagonistes à des actes de bravoures stupéfiants mais aussi des actes minables de lâcheté.

Les zombies quand à eux, sont ultra violents. Difficile d’imaginer cela dans la littérature pour « jeune ». Mais sans rentrer dans du détails sordides, Darren Shan n’hésite pas à parler de tripes sanguinolentes et nous décrire des scènes qui sont une véritable boucherie.

Outre le fait qu’une morsure de zombie suffise à vous transformer, relativement rapidement, en l’un des leurs, ces derniers ont la particularité d’être contrôlés par des êtres à sale gueule mais doués d’une conscience sadique. Mais d’où viennent-ils ? Que veulent-ils ?

Nous le saurons avec Fred et Jamie dans le prochain épisode prévue le 14 janvier 2015.

Alors, Zom-B or not Zom-B ?

Pour ma part, j’ai bien accroché au style de Darren Shan. Certaines situations sont, à mon goût, un peu « border line » pour un public très jeune, mais des ados parfaitement équilibrés, et un brin éveillés, trouveront ça diaboliquement drôle.

De plus, outre la violence liée à nos amis les zombies, les sujets abordés par Darren Shan à travers le comportement de B. est tout à fait remarquable, et ce, malgré la pente glissante qu’est la dénonciation du racisme et des violences domestiques à un lectorat destiné à être jeune. Il est difficile à cet âge (du moins cela l’était pour moi, de comprendre les subtilités du langage) de prendre conscience et de discerner ce que veut évoquer l’auteur, et l’idée qu’il en a, sans pour autant donner une leçon de moral à deux balles. Je trouve qu’il s’en tire plutôt bien.

Zom-B est une série qui promet du bon, avec une morale maîtrisée et une violence dévergondée et un rythme effréné et entrecoupé de moments graves. Et puis, avec cette fin quasi inattendue, tout compte fait, j’ai hâte de lire la suite.

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